Voici enfin notre nouveau site, fruit d’une longue collaboration entre notre amie éditrice, Anne
Rideau, la jeune webdesigner Kacia Issaad - que nous remercions pour sa patience et son
sérieux - et moi-même.
Nous l’avons voulu sans prétention mais facile d’accès et doté d’un vrai contenu : pas de
« bling bling », mais une forme conviviale, des informations et du sens !
Pour être rapidement trouvé dans le foisonnement informatique, il s’appelle « Passerelles
normandes », mais nous ne parlons jamais que de « Passerelles », ce nom choisi pour notre
organisme, à Paris, il y a plus de douze ans et plus que jamais représentatif de ce que nous
désirons proposer à travers nos événements désormais normands : des passerelles encore
et toujours, entre les innombrables champs de la culture, les façons de vivre, et surtout
entre les êtres humains si merveilleusement divers.
Bonne lecture à vous : pardonnez les coquilles sûrement encore tapies à droite ou à
gauche ; prévenez-nous d’éventuelles erreurs qui nous auraient échappé ; n’hésitez pas à
nous envoyer vos remarques si le cœur vous en dit : derrière l’écran, il y a des personnes !
Pourquoi trouve-t-on si peu de poésie amoureuse écrite par des femmes avant la fin du XXès?... Nos bibliothèques regorgent de textes oubliés qui contraignaient les femmes à taire leur corps et leurs désirs… et de textes magnifiques de femmes qui ont désespérément tenté de repousser les limites du silence. Nicolas Raccah a enquêté et nous révèle un monde “in- oui”…
Formé à l’ENSATT, Nicolas Raccah propose, dans les théâtres classiques et sur des scènes non classiques, des pièces qu’il a écrites et qu’il interprète lui-même.