Voici enfin notre nouveau site, fruit d’une longue collaboration entre notre amie éditrice, Anne
Rideau, la jeune webdesigner Kacia Issaad - que nous remercions pour sa patience et son
sérieux - et moi-même.
Nous l’avons voulu sans prétention mais facile d’accès et doté d’un vrai contenu : pas de
« bling bling », mais une forme conviviale, des informations et du sens !
Pour être rapidement trouvé dans le foisonnement informatique, il s’appelle « Passerelles
normandes », mais nous ne parlons jamais que de « Passerelles », ce nom choisi pour notre
organisme, à Paris, il y a plus de douze ans et plus que jamais représentatif de ce que nous
désirons proposer à travers nos événements désormais normands : des passerelles encore
et toujours, entre les innombrables champs de la culture, les façons de vivre, et surtout
entre les êtres humains si merveilleusement divers.
Bonne lecture à vous : pardonnez les coquilles sûrement encore tapies à droite ou à
gauche ; prévenez-nous d’éventuelles erreurs qui nous auraient échappé ; n’hésitez pas à
nous envoyer vos remarques si le cœur vous en dit : derrière l’écran, il y a des personnes !
Par ses trouvailles techniques ? Par l’incroyable performance d’Orson Welles, qui interprète le personnage principal depuis sa jeunesse jusqu’à son extrême vieillesse ?
Tout à la fois, bien sûr. Mais surtout par la façon dont Welles reprend les leçons de ses maîtres (Ford, Murnau, Griffith) et insuffle une fantaisie, une inventivité de chaque instant. Citizen Kane signe l’acte de naissance du cinéma moderne.